Les études économiques ont pour objectif de donner au lecteur une vue d’ensemble macroéconomique ainsi qu’un inventaire des secteurs porteurs en termes d’exportation.  Elles répertorient également les secteurs clés qui offrent des opportunités importantes pour nos entreprises exportatrices belges.
  • Étude économique Malaisie (octobre 2014)

    Troisième puissance de l’Association des Nations d’Asie du Sud-Est (ASEAN), la Malaisie génère 13 % de la richesse de la région et sa croissance devrait atteindre 5,7 % en 2014.

    L’objectif ‘Vision 2020’ vise à augmenter le PIB par tête et ainsi promouvoir la Malaisie du statut de pays à revenu intermédiaire à celui de pays à revenu élevé. Différents programmes entendent la guider dans la réalisation de ce défi ambitieux.

    La Malaisie ne manque pas d’atouts pour séduire les exportateurs. La libéralisation de son économie dynamise les échanges commerciaux, attire d’importants capitaux étrangers et contribue à l'ascension du pays dans les classements internationaux relatifs à la compétitivité.

    A l’occasion de la mission économique conjointe qui se déroulera du 22 au 28 novembre 2014, l’Agence pour le Commerce extérieur a publié une étude économique. La première partie est consacrée à la situation macroéconomique de la Malaisie, alors que le deuxième chapitre constitue une analyse de quatre secteurs dynamiques présentant de nombreuses possibilités commerciales : la finance islamique, le cleantech, la construction et la santé. Elle aborde ensuite quelques réussites récentes de sociétés belges dans le pays.

  • Étude économique Maroc (novembre 2018)

    L’économie marocaine s’est considérablement métamorphosée et consolidée au cours des vingt dernières années. Une croissance annuelle d’environ 4% du PIB est attendue dans les années à venir, tandis que l’inflation, les taux d’intérêt et le taux de change restent également stables. L’ambition marocaine de servir de pont entre l’Europe et l’Afrique ainsi que de nombreux autres atouts font également de ce pays un lieu d’investissement attractif. Cette étude met aussi l’accent sur les secteurs de la logistique et des transports, des infrastructures et de l’énergie.

    Cette étude a été réalisée à l’occasion de la mission économique conjointe au Maroc qui a eu lieu en novembre 2018.

  • Étude économique Mexique (janvier 2019)

    Le Mexique dispose d’un important marché intérieur qui se développe grâce aux réformes prévues dans l’ambitieux programme Pacto por México. En outre, le pays bénéficie également d’un vaste réseau d’accords commerciaux internationaux. De nouveaux accords sont également en discussion avec l'Union européenne, de même qu’avec les États-Unis et le Canada. C'est donc un moment idéal pour porter toute son attention sur ce marché.

    Cette étude a été réalisée à l’occasion de la mission économique conjointe au Mexique qui a eu lieu en février 2019.

  • Étude économique Nouvelle-Zélande (octobre 2012)

    En raison de son isolement géographique, la Nouvelle-Zélande abrite une faune et une flore très particulières dont une bonne partie est endémique. Outre la richesse de sa biodiversité, son secteur primaire est florissant que ce soit au niveau de la pêche, de l’agriculture, de l’exploitation forestière et même en ce qui concerne les réserves énergétiques naturelles.

    Au cours des 20 dernières années, le gouvernement a réussi à transformer cette Nouvelle-Zélande agraire, isolée géographiquement et économiquement, en une économie industrialisée et de libre échange. À l’instar de nombreux pays anglo-saxons depuis les années 90, la Nouvelle-Zélande a connu une période de très forte croissance au cours des années 2000 jusqu’à la crise économique mondiale où le recul de son économie est resté relativement restreint.

    Outre ses ressources naturelles et son secteur primaire, le pays est également doté d’une industrie cinématographique renommée internationalement sans oublier l’importance du secteur de la construction et des infrastructures.

    Lors de la mission économique en Nouvelle-Zélande, présidée par S.A.R. le Prince Philippe du 27 au 30 novembre 2012, ces secteurs ont été placés au centre de l’attention.

    Cette étude a été réalisée à l’occasion de la mission économique conjointe en Nouvelle-Zélande qui s'est déroulée en novembre 2012.

  • Étude économique Oman (février 2014)

    Oman connaît depuis 40 ans une période de développement économique sans précédent. Ce « boom » coïncide avec le règne du Sultan actuel Qaboos bin Said al-Said, qui a accédé au pouvoir en 1970, et repose en grande partie sur les revenus du secteur pétrolier (production et exportation). En 2012, ce dernier représentait près de 50 % du PIB.

    L'importante dépendance à l'égard de l'or noir expose en effet le pays aux fluctuations du cours boursier du baril de pétrole brut. C'est dans ce contexte que le Sultanat a lancé dès 1995 le plan Vision 2020, une stratégie à long terme articulée autour de trois concepts clés : “la diversification économique, l’omanisation et la privatisation”.

    Les piliers de cette politique ont ensuite été développés et mis en oeuvre par le biais des différents plans quinquennaux, dont le plus récent couvre la période 2011-2015.
    Pour 2013-2017, l’Economist Intelligence Unit table sur une croissance annuelle moyenne de 4,6 % qui, selon les données de la Banque centrale d’Oman, sera soutenue à concurrence de 70 % par l'essor du secteur non pétrolier.

    A l’occasion de la prochaine mission économique conjointe en Oman (14-21 mars 2014), l’Agence pour le Commerce extérieur a publié une étude « pays » dont la première partie est consacrée à la situation macroéconomique de l’Oman, alors que le deuxième chapitre constitue une analyse de trois domaines dynamiques présentant de nombreuses possibilités commerciales : les infrastructures et la logistique, l'énergie et l'environnement ainsi que le secteur bancaire. Elle aborde ensuite quelques réussites récentes de sociétés belges en Oman.